Coach Carter (2005)

Derrière les dribbles, les passes et les paniers se cache une leçon de vie universelle : nous sommes tous capables de bien plus que ce que nous croyons. Encore faut-il oser briller.

Ken Carter, entraîneur exigeant mais visionnaire, incarne ce guide inattendu qui change tout. Son message est clair : gagner un match, c’est bien. Gagner sa vie, c’est mieux. Et pour cela, pas question de laisser la médiocrité ou l’échec scolaire prendre le dessus, même si cela implique de fermer les portes du gymnase à une équipe invaincue.

Véritable ode à la discipline, à l’éducation et à la confiance en soi, Coach Carter nous rappelle que les plus belles victoires ne se jouent pas sur un parquet, mais dans le choix que nous faisons d’honorer notre potentiel. Comme ses joueurs, vous vous surprendrez à douter, à résister… puis à comprendre qu’il n’y a pas de liberté sans responsabilité.

L’astuce mood :

À regarder absolument :

Quand vous perdez de vue vos objectifs mais que vous voulez retrouver la force d’y croire.
Quand vous êtes à deux doigts d’abandonner, et qu’une petite voix vous dit encore : « tiens bon ».
Si vous avez besoin d’un shot d’espoir dans votre quotidien.
Quand vous voulez ressentir des émotions fortes qui vous rappellent pourquoi vous vous battez.

Synopsis :

Inspiré d’une histoire vraie, Coach Carter raconte le parcours de Ken Carter (incarné par un Samuel L. Jackson magistral), entraîneur d’un lycée de Richmond, en Californie. Devenu célèbre pour une décision radicale — interdire à son équipe invaincue de jouer à cause de leurs mauvais résultats scolaires —, Carter ose remettre en question tout un système.

Son credo : l’éducation d’abord, le basket ensuite. Face aux parents, à la direction et à ses propres joueurs, il campe sur sa vision : au-delà des gangs, de la prison ou de la drogue, il existe un avenir meilleur. À condition d’y croire et de travailler pour.

Sous ses ordres, l’équipe découvre que les vrais matchs sont ceux qui se gagnent à l’intérieur de soi.

Acteurs Principaux :

Anecdotes :

Un film au plus près du réel : Ken Carter lui-même a participé à la production pour que l’histoire reflète son vécu. Pas de fin hollywoodienne avec un trophée facile : la victoire est ailleurs.

Son fils à l’écran : parmi tous les personnages fictifs, seul Damien Carter est réel, incarné par Robert Richard.

Un héros hors écran : après la saison 1998-1999, Carter a porté la flamme olympique à Salt Lake City en 2002, et a fondé une organisation d’éducation pour les jeunes issus de minorités.

Casting sportif : les acteurs ont suivi un stage intensif de trois semaines, jusqu’à 12 heures par jour, pour paraître crédibles sur le terrain.

Technologie pionnière : Coach Carter est le premier film sportif à utiliser la cartographie numérique en 3D pour chorégraphier les matchs.

Citations diffusées sur Radio Victoire :

- Notre peur la plus profonde n'est pas d'être inapte, notre peur la plus profonde est d'avoir un pouvoir extrêmement puissant. C'est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n'est pas une attitude éclairée de se faire plus petit qu'on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n'est pas dans quelques-uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller... nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres.

- Ceci Messieurs est un passeport pour la victoire parce que s’il y a une chose dont je
suis sûre c'est ceci : les déculottés s'arrêtent maintenant.
- Sans blague, toutes les portes s'ouvrent en signant ce truc-là ?
- Oui Monsieur, à daté d'aujourd'hui vous jouerez comme des gagnants, parlerez
comme des gagnants et vous vous imposerez comme des gagnants.
- Si vous apprenez vos leçons vous remporterez des matchs en équipes et croyez-moi :
le fait de gagner ici est la clef pour gagner dehors.